24 avril 2008

Egypte, dîner-débat du 15 mai 2008





Osiris' Dance, musique composée par mes soins (tous droits réservés) et illustrée par un diaporama des lithographies des grands peintres voyageurs des siècles derniers dont le fameux David Roberts.


Le dîner-conférence organisé par les Editions Traditionnelles le jeudi 15 mai 2008 aura pour thème l’Egypte : Frédéric Mistral-Sergent, conférencier en symbolisme traditionnel et archéologie sacrée, ancien élève diplômé de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (Vème section, égyptologie) ainsi que praticien en géobiologie, nous fera découvrir le centre sacré de Giza (Gizeh) et la pyramide de Chéops, sanctuaire initiatique et septième merveille du monde.

Avec un tel programme, la soirée s’annonce des plus passionnantes. Car la civilisation égyptienne, qui a excellé dans tous les arts et sciences, et qui a porté le Sacré à son plus haut degré, interroge et fait rêver les hommes depuis des siècles.

Peu après sa parution en France en 1999, une amie m’avait conseillé la lecture du livre de Robert Bauval et Graham Hancock, « Le mystère du Grand Sphinx », qui énonce une théorie surprenante à propos de l’existence d’un code astronomique caché dans l’alignement des trois fameuses pyramides du plateau de Gizeh que sont Kheops, Khephren et Mykérinos. A l’époque sans même posséder de vastes connaissances ésotériques, j’avais déjà été fort intéressée, me gardant toutefois de céder aux clichés de l’égyptomanie. Depuis, mes recherches pluridisciplinaires me conduisent lentement mais toujours plus sûrement, comme au rythme du fleuve sacré, à faire une place de choix à l’Egypte. Oui, je suis convaincue à la lecture d’écrits peut-être plus scientifiques et moins sensationnels, tels que ceux de Schwaller de Lubicz ou encore d’Erik Hornung, d’une mystérieuse civilisation égyptienne matrice de bien des savoirs.

Des savoirs qu’il serait fondamental de revisiter d’un œil plus averti alors que nous entrons dans l’Ère du Verseau qui verra l’humanité nouvelle. Car l’astrologue que je suis n’ignore pas que l’on associe souvent les deux premiers signes d’Air à l’Egypte.

Face à la vieille ville du Caire, sur la rive gauche du Nil, le Sphinx et les grandes Pyramides, imperturbables et indifférents au brouhaha des petits êtres humains, attendent que l’Homme et l’homme se rejoignent pour ne faire qu’un. Aussi, fidèles à leur vocation continueront-ils encore longtemps, patiemment, d’éveiller la curiosité et l’imaginaire de l’homme en l’invitant à s’élever et à se souvenir de la part de divin en lui.

La conférence se place d’emblée sous de bons auspices, pour preuve ces deux « coïncidences » astrologiques remarquables.
Au mois de mai la Nouvelle Lune se forme en Taureau (le 5 mai à 15°22 du signe). Et si l’on se réfère à la théorie des ères précessionnelles, l’Ère du Taureau (approximativement 4099 av. J.C. - 1943 av. J.C.), à laquelle est associée la construction des cités, murailles et grands monuments, correspond à l’époque de l’édification des pyramides.
Le 15 mai, la Lune transite le signe de la Balance. Il s’agit du signe astrologique que de nombreux astrologues relient à la Haute-Egypte (la Basse-Egypte étant quant à elle en affinité avec les Gémeaux). Enfin, je convoquerai et laisserai parler Dane Rudhyar, l’astrologue qui a ouvert la voie à une astrologie du 3ème millénaire annonçant l’intégration de l’Homme à un niveau d’organisation planétaire et cosmique, et qui dans son chef d’œuvre « Le Rythme du Zodiaque » attache une signification particulière au signe de la Balance : « Dans la Balance, la « nouvelle vie » commence : la vie comme participant à la vie de la société ou de n’importe quel plus Grand Tout, Eglise ou « Loge Blanche ». La Balance, c’est l’Initié qui se lève du sarcophage mystique, dans la Chambre Royale de la Pyramide. Il a eu la Vision. Il a reconnu sa place et sa fonction dans le groupe, le sien aussi bien que l’Univers tout entier ».


Le dîner-débat du 15 mai 2008 aura lieu
à 19h30
au Club de la France Libre
59, rue Vergniaud – 75013 Paris

Uniquement sur réservation à André,
au moins une semaine avant la soirée
Au 06 77 55 74 19


05 avril 2008

Vénus "Première à éclairer la nuit"


Elle est née des caprices
Elle est née des caprices
Pommes d’or, pêches de diamant
Pommes d’or, pêches de diamant
Et ces cerises qui grossissaient lorsque
La pluie et la rosée
Toutes ces choses
Guidées par une étoile
Guidées par une étoile
Première à éclairer la nuit
Vénus
Vénus
Vénus
Vénus

Extrait de Vénus in « Bleu pétrole » d’Alain Bashung, 2008.